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La question 1ere qu’on s’est posé en tant que psychiatre du secteur public, c’est ‘ pourquoi les stars se détruisent comme certains de nos malades les plus démunis de ce fait qu’elles ont à priori tout pour elle ‘. Ce paradoxe questionnait notre technologie et nos théories et rien dans la littérature, l’architecture médicale ne semblait se permettre de y répondre. Les vedettes et les héros peuplent notre imaginaire depuis toujours. Cette sentiment est ambivalente, car derrière, se cache un souhait de posséder et de évanouir l’idole.

Notre comportement est fréquemment influencé par des protagonistes de bar, sportifs de haut niveau, musiciens ou hommes politiques… Ce n’a rien de nouveau et est incalculable par les gens, continents ou différentes périodes de l’histoire. Pourquoi ? Il n’existe pas encore de réponse bien se trouvant de nos jours même si ce “culte de la célébrité” déclenche des comportements apparemment irrationnels. Par exemple, il est difficile de comprendre pourquoi une personne est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour choisir des fournitures aussi communs qu’une lyre, un sacoche ou même un mollusque, si ces objets ont été à quelqu’un célèbre. Presque $1, 000, 000 pour les ligue de golf de John franc. Kennedy ou $400, 000 pour son coin à romaine ? Un cycle de de la chansonnière Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !

Entendue en ce sens, la gloire est un produit récent de l’histoire, d’emblée lié à l’explosion des médias et des solutions de diffusion de l’image : sport, illustration, télé, défilé, affiches, Internet… Sans ces moyens-là, la gloire se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un destructeur comme Landru. Les célébrités sont aujourd’hui partout ou presque : musique, restaurant, spectacle bien entendu, mais également sport, orientations, art, charte, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock, la top style, le goals satellite, le télé­animateur d’humour, outre quelques avantages qui sont ceux de l’aboutissement sociale le plus souvent, partagent en priorité un même risque : celui d’être abordé par une quantité envahissant de bons exclusives. Vous ne les pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils ont parfois oublié le titre qui va avec le visage.

Devenir célèbre est un désir à peu près incontournable à le plus jeune âge. Ce existe depuis des siècles et peut être vu de divers angles. Effectivement, pourquoi les très jeunes rêvent-ils d’être célèbres un jour ? Voilà ce domaine à se poser ! Diverses raisons telles une recherche d’identité, la objectivation éventuelle d’un rêve et les de ce statu honorable répondent à cela problématique. pour commencer, les adolescents rêvent de se montrer manifestement pour contenter un plaisir qu’ils chérissent, nourri par une quête d’identité, ou en d’autres mots, par le souhait de se faire apercevoir d’une différente façon par les gens qui les entourent. Ainsi, devenir connu donne facilement accès à la possibilité de se rétablir une identité et permet de veiller à cela libido de longue date.

Il y a quelques jours, Mallaury Nataf faisait son renouveau dans les médias, logement malgré elle. Autrefois star de la série Le Miel et les abeilles puis de Sous le soleil, elle est soudain passée du clair-obscur à l’ombre. Elle en a disposé pour établir une famille. Tout aurait pu se faire figure le mieux si le mal vécu qui germait déjà en elle n’avait pas profité d’un autre puissant aller-retour de la renommée à l’anonymat pour lui a son existence. Sept ans après sa à la Ferme des stars, elle se rapprochait des journalistes pour expliquer qu’elle était sans abri. Elle avait remontée la ados, mais est retournée à la case départ. Cette fois-ci, c’est clairement. Non seulement elle est sans-logis, mais il se raconte qu’elle impulsion dans les venelle parisiennes en balbutiant des prières dédiées à perdre le mauvais oeil. Et pour ceindre tout cela, compte-tenu de son état de santé, on lui a retiré la garde de ses enfants.

Revers de la tarif de ce fantasme d’irresponsabilité extravagante : la Schadenfreude – la jouissance que nous puisons des accidents d’autrui. Depuis plusieurs années, la presse à scandale s’intéresse de plus en plus aux personnes célèbres qui perdent les pédales. Le coup de lubie de Charlie Sheen succède ainsi aux échec de Britney Spears, Mel Gibson, Tiger Woods, et de loin d’autres qui se sont pris en charge de bassesse dans les pages des tabloïds. Lorsqu’une personne généreux et connu se fleur, alors nous nous sentons supérieurs – ou très, un peu moins inférieurs. Votre vie est un enfer ? Certes, mais ce n’est probablement rien appris à ce que traversent Lindsay Lohan ou Brett Favre. Et depuis l’invention de la téléréalité, bon nombre de célébrités ne peuvent même plus s’éblouir d’être meilleures que vous.

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